Henri s'est « offert » une femme chinoise, arrivée tout droit de Pékin il y a à peine 1 mois et demi. Toute gênée, ne comprenant qu'à moitié ce qu'il se passait, il nous la ramenait une après-midi pour nous faire partager sa nouvelle conquête. N'ayant jamais bougée de sa province pékinoise cette délicieuse chinoise ne connait pas beaucoup les hommes, et ne c'était jamais faite baisée par un étranger ! Chose faite aujourd'hui vu que Henri lui a fait comprendre qu'en France ça se passait comme ça...les femmes devaient servir de vide-couilles aux amis du mari...Déboussolée, dépaysée, un peu terrorisée à la vue de nos bites biens raides prêtes à envahir son étroite chatte et lui astiquer la gorge, c'est la petite-culotte aux genoux que Henri nous l'a offerte à tour de rôle. Elle se souviendra de son arrivée en France... 

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